6 de nov. de 2011

Fala pangarés!!! Tudo bom?


Que tempo é esse? De se arrepender,  se batizar, perdoar, doar, se doar, aceitar, sorrir, chorar, roer as unhas, descansar, não pensar, não filosofar, curtir o "dolce far niente" que é o domingão e outras coisas que ensinam desde A Sagrada Escritura à lista do SERASA.

Céu bucólico como o de Braga - Portugal e na face, essa temperatura amena parecida com à de Lorena - SP.

Astróloga do terra.com.br + aquário = Netuno em seu signo por mais algumas semanas ainda pode trazer confusões e ilusões, especialmente nos relacionamentos e no amor. Plutão em Capricórnio pede aprofundamento e limpeza emocional. (Sai logo então Netuno, não sou, e nem quero mais ser seu filho, me decepcionei com o Instituto Zorovich e o STCW/CBSN onde o grupo Costa deu as Costas... hahahahahahaha Literalmente, não sabem o que perderam! Plutão, eu também te aconselharia a pular fora desse Capricórnio, seja homem ou mulher, é difícil arrancar sentimento de emoção, desabafo e tirá-los do mundo "blazê" que eles vivem. Eu te amo, feliz ano novo, ganhei na mega,meu apartamento pegou fogo ou minha mãe está na UTI: eles falam com a mesma frieza e intensidade de voz, porém, são os melhores líderes e chefes que já tive, pois sabem mandar e separar muito bem as coisas. Mas como sou de Aquário, só quero influência do bem e boas energias, uma semana bem feliz cheia de novidades e paz para mim e todo o zodíaco).

Depois de cumprir com minha civilidade e votar secretamente no meu canditato a Presidente do Conselho Tutelar da minha cidade, fui correndo para a reunião da minha família Héterus de teatro, onde cada vez mais sei que tenho para onde correr quando ou se o bicho pegar. Cada abraço, cada beijo no rosto e cada opinião me deixamcom a certeza de que jamais estou sozinho e que as personas da tragédia e da comédia, símbolos desta arte ímpar, está sempre sorrindo para nós honestos amadores e com vontade de semear e colher o que vier, seja cachê ou aplauso, o importante é fazer o que ama. Na vida real há apenas sim e não, e claro, suas consequências.

O lema é jamais sofrer, afinal quem paga a gente é o público que quer se entreter, aprender, se emocionar, sonhar e pagar meia entrada sempre! ahahahahahahahaha.

Quem quiser se aprofundar sobre o jogo do Corinthians que levou fumo do América lá das Minas Gerais, gabarito da Unesp, quem matou Michael Jackson, novo governo de Papandreou, Palmeiras na 13ª colocação da tabela depois de perder do Coxa, vitória do Santos de Neymar, cinegrafista que morreu no RJ para alegria e segurança de quem virá para cá assistir a Copa do Mundo, pobre coitado do Siena que bateu atrás de uma Lamborghini que tão preocupado dispensou o reboque e saiu dirigindo em paz, as Farc que sem líder continua com ideia de rato Pink e Cérebro de dominar o mundo, a venezuelana Ivian Sarcos, de 21 anos que conquistou o título de Miss Mundo na 60ª edição do concurso de beleza... Veja no Fantástico, G1, Portais, Twitter e outras mídias. Porque o que estárá escrito no jornal de amanhã, é o que aconteceu no Jornal Hoje! hahahahahahahahaha.

Só Pra Contrariar Um Pouco! (Imaginem a voz de Cid Moreira ou de Carlos Mieli narrando este clássico do cancioneiro populacho):

Domingo quero te encontrar

E desabafar todo o meu sofrer.

Estar ao teu lado, esquecer de tudo,

Tudo que o amor até hoje nos fez sofrer.

Esquecer a briga que deixou ferida

E que até hoje não cicatrizou.

Te amar de novo faz parte da vida.

Abre o coração! Tudo tem sentido e tem razão.

Cola o teu rosto no meu!

Chega mais perto de mim!

Faça de conta que eu sou teu namorado.

Amar você é bom demais; (BIS) (Diamante Negro) (Ferreiro Rocher) (Kinder Bueno) (laka)

É tudo que eu posso querer.

Se tudo você tem melhor,

Pior é te perder.

Pratique seu francês e não gaste seu latim:

Léonard de Vinci, les secrets d'un génie

Exceptionnel : pour la première fois, 13 des 19 tableaux connus de Léonard de Vinci sont réunis à la National Gallery de Londres. Du jamais-vu ! Le monde de l'art est sur le qui-vive, les réservations s'arrachent, le public s'impatiente. Voici, en avant-première, ce que révèle cette exposition-événement.

Il fallait avoir du cran pour relever un tel défi: réunir la quasi-totalité des tableaux de Léonard de Vinci. Si nombre d'expositions ont célébré l'homme de sciences, l'inventeur ou l'époustouflant dessinateur que fut Léonard, présenter la majorité de ses peintures est en effet une tout autre histoire. Quand un musée a la chance de posséder une œuvre du génial Italien, il répugne à s'en séparer, ne serait-ce que quelques mois. Obtenir des prêts pour une exposition relevait du rêve. Alors que la plupart des institutions y avaient renoncé, la National Gallery de Londres a relevé la gageure: le 9 novembre prochain, l'exposition qu'elle présentera rassemblera le plus grand nombre de tableaux de Léonard de Vinci jamais réunis à ce jour. Cette fois, le mot n'est pas trop fort, c'est un événement, même sans La Joconde...

Il faut avouer que Léonard lui-même n'a pas facilité la tâche des historiens d'art. Aujourd'hui encore, on ignore exactement le contenu et l'ampleur de son œuvre. Alors que l'influence exercée par le peintre est profonde et ramifiée, au point qu'il incarne à lui seul la Renaissance, son œuvre est peu abondante et les spécialistes ne s'accordent pas autour des tableaux que l'on peut lui attribuer en toute certitude. On compte une dizaine d'œuvres attestées par des documents et parvenues jusqu'à nous. A quoi s'ajoutent huit tableaux environ, eux aussi attestés mais disparus, dontLéda et le cygne,uniquement connu par des dessins. Il y a encore une douzaine d'œuvres commandées à l'artiste dont nul ne peut dire si elles ont été ou non réalisées. À cela s'ajoutent enfin neuf ouvrages qui ne sont signalés par aucun document mais que les experts reconnaissent dans l'ensemble comme des originaux, telle La Dame à l'hermine du musée de Cracovie, étrange et merveilleux portrait d'une jeune fille de 17 ans. Pour moins de 20 tableaux soit attestés soit attribués, il y en a donc au moins autant sur lesquels on ne peut que conjecturer. Cette curieuse situation s'explique : le souvenir de Léonard, entré vivant dans la légende, restera très vif un siècle après sa mort, mais on ne saura presque plus rien de son œuvre. L'exposition de Londres survient à propos pour une redécouverte du vrai Léonard, complet et complexe.

Cette redécouverte multiplie les temps forts et les trouvailles. Les prêts internationaux sont au rendez-vous, venus du Louvre, de l'Hermitage, de la Pinacothèque du Vatican, de la Bibliothèque ambrosienne de Milan, de la Fondation Czartoryski de Cracovie et de quelques collectionneurs privés qui ont perçu l'importance scientifique d'un tel rassemblement. Ainsi, pour la première fois, les deux versions deLa Vierge aux rochers -celle de 1486 appartenant au Louvre et celle de 1506 appartenant à la National Gallery de Londres -, vont être exposées côte à côte. Léonard lui-même n'a jamais pu les confronter !

Autre merveille :La Cène réalisée à Milan en 1495 pour orner le réfectoire du couvent de Santa Maria delle Grazie. Grande peinture de 4,60 m sur 8,80 m, saluée comme le plus parfait travail de Léonard, elle est, bien sûr, intransportable, mais les commissaires de l'exposition en présentent une copie à peu près contemporaine, réalisée à l'échelle par Giampietrino, qui fut l'élève de Vinci, et prêtée par la Royal Academy. Mais il y a mieux: sera présentée à l'exposition la totalité des dessins préparatoires à La Cène, prêtés par la reine d'Angleterre et réunis ici pour la première et unique fois.

Car outre les tableaux, plus de 50 dessins de Léonard liés aux œuvres peintes seront proposés au public londonien. Parmi eux, 33 croquis et études provenant des collections royales britanniques, qui possèdent le plus vaste ensemble de dessins de Léonard avec plus de 600 feuilles conservées à la Royal Library de Windsor. Avec d'autres dessins empruntés au Louvre, au British Museum, à la Courtauld Gallery et aux musées d'Oxford et de Cambridge, cette section est particulièrement spectaculaire.

Avant de quitter Florence pour Milan, le peintre s'essaie au «dessin filmique»

A la cour des Sforza, en 1490, Léonard peignit ce portrait de Cecilia Gallerani, la maîtresse de Ludovic le More. L'artiste renouvelle ici l'art du portrait : aux effigies frontales, il substitue une silhouette féminine qui semble tourner dans l'espace. (Luisa Riccicarini/LEEMAGE).

Ni sa naissance ni son milieu familial ne prédisposaient pourtant Léonard à un destin aussi exceptionnel. Elevé par son père, il fut placé en apprentissage à Florence chez l'un des peintres les plus recherchés du temps, Andrea Verrocchio, à la fois graveur, architecte, sculpteur et orfèvre. C'est lui qui va former Léonard à toutes ces disciplines. Elles ont pour dénominateur commun le dessin, outil indispensable à toute formation technique et toute imitation de la nature, ce qui, selon l'idéal de la Renaissance, constitue la base de toute réalisation artistique. Comme Botticelli, Le Pérugin, Ghirlandaio et Lorenzo di Credi, qui se retrouvent dans les années 1460-1470 dans l'atelier de Verrocchio, Léonard collabore à la création des œuvres qui sont commandées à son maître : c'est le cas pour la prédelle de L'Annonciation du Louvre (discutée aujourd'hui par les spécialistes), dont on ne sait exactement quelle est la part de l'élève. Mais surtout, Léonard se trouve alors au cœur d'un humanisme raffiné, d'un étonnant creuset où la tradition toscane s'enrichit de contacts avec les cultures du Nord. Vinci fait même preuve d'une étrange modernité quand, dans un passage souvent cité mais surprenant de sonTraité de la peinture, il parle de l'observation des taches colorées sur un mur. En les regardant dans une semi rêverie,«on y découvre l'image de paysages extraordinaires, ornés de toutes sortes de montagnes, de ruines, de rochers, de bois, de plaines, de collines, de vallées car la confusion des formes incite l'esprit à de nouvelles inventions». Goya appliqua cette méthode, Victor Hugo aussi, qui fit ses curieux dessins d'après des taches d'encre ou de café. Mais Léonard, comme ancêtre de l'expressionnisme abstrait, c'est plus étonnant.

Avant de quitter Florence pour Milan, le peintre s'essaie au«dessin filmique», c'est-à-dire à la représentation d'un même sujet en trois dimensions. Comme l'explique Alessandro Vezzosi, «le regard tourne autour des choses, s'élève au-dessus d'elles ou s'en approche, connaît aussi leur revers, évolue à travers une succession d'instantanés». Le procédé qui consiste à multiplier les points de vue d'un même motif est à l'origine de magnifiques études de mains, de bustes féminins, d'enfants jouant, se référant à desMadones et conservées au Louvre et au château de Windsor.

À Milan, Léonard entre au service du puissant duc Ludovic Sforza, qui consacre une bonne part de ses revenus à des dépenses militaires. Le peintre va donc faire valoir ses compétences d'ingeniere plutôt que ses talents artistiques: bâtir des ponts, détruire des forteresses, lancer des chars couverts et sûrs, blinder des navires et les doter de canons, l'imagination de Léonard semble inépuisable. C'est à cette époque qu'il prend l'habitude de consigner toutes ses recherches dans des carnets, qui nous sont en grande partie parvenus. L'intérêt que Ludovic le More porte aux idées de Léonard conforte l'artiste, qui reprend ses pinceaux: il accepte de peindre pour la confrérie de l'Immaculée Conception une Vierge aux rochers(ce sera l'exemplaire du Louvre). Face à ses commanditaires, Léonard, une fois de plus, va se trouver en difficulté. On lui reproche sa lenteur (il a mis quatorze ans pour peindre Sainte Anne, dix pourLa Joconde, cinq pourLéda, aujourd'hui perdue), mais surtout son non respect du programme iconographique et sa manie de ne jamais finir ses tableaux. La Vierge aux rochers sera en effet pendant vingt-cinq ans au centre d'un conflit entre le peintre et ses commanditaires. Elle sera aussi un magnifique prototype de la « manière » de Léonard. Il plonge la scène dans l'ombre, donnant ainsi aux éléments qui surgissent dans la lumière la force d'une révélation. Dans cette opposition ombre/lumière, il trouve un moyen de suggérer l'épaisseur et la densité des choses.

Ses mécènes sont les Médicis, les Sforza, les Borgia, Louis XII, FrançoisIer...

La «Madone Litta», après 1485. Bien qu'il ait traité le sujet à plusieurs reprises, Léonard a toujours su se renouveler et mêler perfection et spontanéité, méprisant ce qui est simplement décoratif. (By the States Hermitage,Saint-Petersbourg).

Quant aux limites de l'ombre, il les utilise pour exprimer la grâce des personnages, dont les gestes et le visage sont balayés par un halo diffus. Ce sfumato, qui consiste à fondre les contours dans l'atmosphère par un dégradé de tons, se retrouve dans les œuvres de Léonard à partir de 1485 et culmine dans La Vierge, l'Enfant Jésus et sainte Anne. Le peintre usera d'un autre artifice, celui des ombres colorées, où les pigments se mêlent imperceptiblement: dans La Vierge aux rochers, les chairs de la Vierge et de l'ange reflètent dans leurs parties ombreuses le brun des rochers alentour. Le contraste entre le clair et le sombre ne cherche pourtant jamais à apprivoiser les ténèbres (comme chez Rembrandt, par exemple) mais tente de construire une harmonie souveraine.

Après dix-sept années passées à Milan, Rome ouvre enfin ses portes à Léonard. Ici comme partout ailleurs, il est lié au bon vouloir de ses mécènes, qui ne lui ont pourtant jamais fait défaut: les Médicis (Laurent, puis Julien), Ludovic Sforza, César Borgia, Louis XII (qui le nommera «peintre du roi» et «ingénieur ordinaire») et bien sûr François Ier. Plus que jamais, il dessine, ses feuilles constituant un fabuleux laboratoire où il répertorie les signes du monde, composant une sorte de « banque de données » dans laquelle il puise au hasard de ses travaux. D'une incroyable diversité, ces dessins ont contribué à forger le mythe du génie universel car, mieux que les peintures, ils rendent compte de son insatiable curiosité et de l'ampleur de ses recherches. Guidé par l'envie de savoir, Léonard griffonne, corrige, s'acharne à la recherche de la forme exacte jusqu'à ce que, du chaos, surgisse enfin la ligne juste. Quant à la peinture, affirme-t-il, elle estcosa mentale, le fruit d'une réflexion. L'artiste toscan a imaginé tout ce qui pouvait améliorer le sort de l'humanité à la faveur d'une œuvre proprement ahurissante. Plus le regard s'y attarde, plus l'esprit s'y attache, et plus cette œuvre révèle sa subtilité, sa richesse et, en fin de compte, son sens. Là se trouve la magie de Léonard.

Publié par Véronique Prat le 06/11/2011 à 18:00

Para não reclamar depois que elegeu:


Os Conselhos Tutelares surgiram com a criação da Lei Nº. 8.069, de 13 de julho de 1990. Esta Lei, é conhecida como Estatuto da Criança e do Adolescente (ECA).

"Considera-se criança, para os efeitos desta lei, a pessoa até doze anos de idade incompletos, e adolescente aquela entre doze e dezoito anos de idade" (art. 2º).

No Brasil, os Conselhos Tutelares são órgãos municipais destinados a zelar pelos direitos das crianças e adolescentes. Sua competência e organização estão previstas no Estatuto da Criança e do Adolescente (artigos 131 a 140).

O Conselho Tutelar é composto por cinco membros, eleitos pela comunidade para acompanharem as crianças e os adolescentes e decidirem em conjunto sobre qual medida de proteção para cada caso. Devido ao seu trabalho de fiscalização a todos os entes de proteção (Estado, comunidade e família), o Conselho goza de autonomia funcional, não tendo nenhuma relação de subordinação com qualquer outro órgão do Estado.

Importante esclarecer que a autonomia do Conselheiro funcional não é absoluta. No tocante as decisões, estas devem ser tomadas de forma colegiada por no mínimo três Conselheiros, e não apenas por um ou dois deles. No tocante a questões funcionáis: fiscalização do cumprimento de horário de trabalho e demais questões administrativas o Conselheiro tem o dever da publicidade ao órgão administrativo ao qual vincula o Conselho Tutelar, assim como, é dever e função do CMDCA - Conselho Municipal dos Direitos da Criança e do Adolescente, fiscalizar a permanência dos pré-requisitos exigidos pelo ECA aos Conselheiros Tutelares, em especial o da idoneidade moral e residencia no município, podendo suspender ou mesmo pelo voto de censura demitir Conselheiro que comprovadamente, em processo que assegure direito de defesa e contraditório, e pelo voto da maioria dos Conselheiros (sugerindo-se 2/3 dos membros para maior segurança da deliberação) perca os pré-requisitos.

Conhecer os direitos da criança e do adolescente não é pré-requisito para candidatura a Conselheiro Tutelar. Desconhecê-los porém pode ser motivo para cassação de Conselheiro eleito e em exercício de mandato. Logo, uma vez eleito, o Conselheiro tem o dever de aprender e conhecer profundamente os direitos da Criança e do Adolescente aos quais tem a função de zelar.

Para ser Conselheiro Tutelar, a pessoa deve ter mais de 21 anos, residir no município,e reconhecida idoneidade moral, mas cada município pode criar outras exigências para a candidatura a Conselheiro, como carteira nacional de habilitação ou nível superior. Há controversia sobre isto. Havendo um entendimento majoritário de que o Município não pode acrescentar critérios aos pré-estabelecidos pelo legislador federal para candidatura a Conselheiro. Porém, como já dito acima, uma vez eleito, o Conselheiro poderia ser cassado pelo CMDCA se não manter os três critérios, na prática dois, já que nunca terá idade inferior, posteriormente. Não há que se exigir formação superior, porque Conselheiro Tutelar não é técnico e não tem que fazer atendimento técnico, para isto deve requisitar o atendimento necessário. O que o Conselheiro Tutelar precisa é ter bom senso para se fazer presente onde há violação de direitos ou indicios e possibilidades de violação e agir para cessá-la ou eliminar o risco de que ocorra. Para isto não deve fazer, mas requisitar os meios necessários a que se faça. 

Conselheiro Tutelar não é policial, não é técnico, não é Juiz é apenas o Zelador dos direitos da criança e do adolescente e deve requisitar ações que os garanta ou representar contra sua inobservância ao Ministério Público e Poder Judiciário para que estes façam os mesmos valer, quando administrativamente não conseguirem tal intento.

Vai um preto fresco passado no saco = Cafezinho?

Ps.: Amanhã, não esqueçam de se apresentarem com duas horas de antecedência no check-in da TAR para sabe-se lá onde! Bjs.

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